Bretzel liquide, humour noir, propos absurdes et photos étranges

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Mot-clé - humour noir

Fil des entrées

la sombre affaire d'Alice et du lapin blanc

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alice_morte.jpg

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comment garder à l'amour sa fraîcheur des premiers jours ?

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Haruhiko_Kawaguchi_comment_garder_a_l_amour_sa_fraicheur_des_premiers_jours.jpg
photographie : Haruhiko Kawaguchi
les idées brico-facile de tonton yves (14) : une pompe à vide pour la saint-valentin

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Cargo de nuit : Trente-cinq jours sans voir la terre Et deux nuits pour se vider

, 17:55

Isabel_Chiara_promenade_en_barque_naufrage.gif
gif animé par Isabel Chiara : cliquez pour faire danser
"Le cargo Modern Express, à la dérive depuis six jours sans équipage dans le Golfe de Gascogne, fera l'objet lundi matin d'une ultime tentative de remorquage, mais en cas d'échec, il s'échouera sur la côte des Landes"

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folklore : la poudrière des balkans

, 09:11

opa idemo#uzicko #africa

Posté par Dubsmash Balkan sur lundi 16 novembre 2015

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Apollinaire : ah, dieu ! que la guerre est jolie

, 06:15

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photographie : François Sternicha
"« Ah Dieu ! Que la guerre est jolie… ». Ce vers de Guillaume Apollinaire résume avec provocation l’absurdité de la guerre de 14-18. En 1966, Pierre Debauche en fait le titre de la pièce qu’il crée pour le deuxième festival de Nanterre. Inspiré du musical de Joan Littlewood Oh! What A Lovely War, le spectacle antimilitariste et libertaire de Debauche rencontre, en pleine guerre du Viet-Nam, un succès foudroyant. Repris en 1972, il sera vu par des milliers de spectateurs. Pour Pierre Debauche, la Grande Guerre est une tragédie intime, une évocation du paysage de son enfance, son propre père François ayant été engagé volontaire dans le conflit. En cette année de commémoration, il décide donc, avec l’aide de Pieryk Vanneuville, de raconter à nouveau cette guerre terrible. Il la raconte du point de vue des « biquets » c’est ainsi que l’on appelait les jeunes conscrits de 1914. Il la raconte avec son poids de tragédie, mais aussi avec la vitalité solaire d’une jeunesse mobilisée contre cette descente aux enfers. Habillés en « Pierrots », accompagnés par trois musiciens, quatorze jeunes acteurs du Théâtre École d’Aquitaine chantent les chants d’insoumission des mutinés. Ils racontent surtout quel formidable temps de paix cela aurait été si ça n’avait pas été la guerre..."

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